Scène de la vie quotidienne
J’me baladais sur l’avenue …
… d’la porte d’Italie, damned, je savais bien pourquoi Pierre Delanoë n’avait pas choisi celle-là dans sa chanson !
Une jeune fille blonde décide de traverser la rue, le cœur battant à l’inconnu (joe, sors de ce corps).
Un jeune homme dans la Modus de son papa (ou bien est il déjà père de famille et aigri) tourne un peu prestement et risque de renverser la jeune demoiselle laquelle lui exprime tout son amour des jeunes hommes s’approchant un peu vite de son arrière callipyge.
Le jeune homme enamouré lui déclare aussitôt sa flamme par une comparaison sublime mettant en scène de l’argent et la génitrice de notre jeune demoiselle : « Sale pute à ta mère » entend-on dans nos oreilles chastes.
La jeune demoiselle étant dorénavant trop loin pour s’exprimer intelligiblement lui fait signe de l’appeler pour prendre un rendez-vous, ou peut-être en tout cas le remercier du compliment.
Elle insère son majeur dans sa bouche et le lui tend bien haut.
Ah les jeunes, que c’est beau l’amour, ça m’émeut …